lundi 27 août 2012

La jupe so 60'

Vous savez, ces coupons de tissu achetés un jour parce que beaux et en promo...
ils sont rangés... ils attendent un projet...

Vous connaissez, ces patrons qui plaisent tant...
ils sont archivés... ils attendent d'être fait...

Quand le tissu du coffre rencontre le patron de l'étagère et que ça fait TiiLT, super !

C'est exactement ce qui s'est passé pour la "jupe années 60" :
voici l'union d'un coupon Toto et d'un patron "Coton, lin et liberty".

Modèle : Astride Le Provost 2011 - Coton, Lin et Liberty. Paris, Flammarion

J'ai ajouté un passepoil pour souligner la taille.



Mes petites fiertés :

- le passepoil, que j'ai moi-même fait
(ok, c'est pas compliqué !)




- la fermeture éclair,
bien casée dans un pli

et la boutonnière,
ma première à la machine.


samedi 11 août 2012

La robe Elle

Ce mois d'août, c'est " Bienvenue dans les années 60 ! "

L'occasion donc de présenter une vielle production :
ma robe Elle, la toute première robe que j'ai cousu toute seule (ou presque).


L'histoire commence avec un patron trouvé au fond du coffre à merveilles de ma Grand-mère. J'avais très envie de la réaliser et peur de ne pas y arriver.

Il faut dire que jusqu'ici, ce que j'avais pu confectionner se résumait à des coutures droites : coussins, rideaux et ourlets de pantalons.

Comment s'y prendre...



La simple vue du plan de coupe me rappelait les cours de mathématiques...

De quoi avoir de l'urticaire !
(au moins)

Dans ces cas là, le mieux, c'est de se faire aider...
Mais par qui...
Le hasard des choses et des rencontres a fait que quelques jours plus tard, alors que je faisais les cent pas en attendant une amie, je découvris (à seulement deux pas de notre lieu de rendez-vous) une boutique de machines à coudre proposant des "cours de couture".
Je poussai la porte...
...et quelques semaines plus tard, là voici.




Ces "cours de couture" étaient un accompagnement à la réalisation du projet.
La professeur guidait chacune, étape après étape et selon les besoins.
Pour ma robe Elle, un peu tout fut une première fois :
  • le découpage d'un patron et son "ajustement",
  • l'utilisation d'une surjeteuse (que j'ai rebaptisé " l'outil que ne sert à rien jusqu'au jour où on l'essaye " ),
  • la réalisation de pinces à la taille et à la poitrine,
  • la couture d'une fermeture éclair invisible et des biais pour l'encolure et les emmanchures...

Et plein d'autres choses que j'oublie là, car c'était il y a un an et demi.



Enfin, une bonne base pour m'en sortir avec n'importe quel modèle aujourd'hui ! (Oui, n'ayons plus peur !)

dimanche 5 août 2012

La petite dernière...

Hier, à l'occasion du centième anniversaire de la naissance de l'Abbé Pierre et comme souvent le samedi, je vais chez Emmaüs. Dans la cour intérieure, au détour de tables, chaises et fauteuils en tout genre, un petit bureau attire mon attention...

Quelques minutes de discussion avec une chineuse, un petit grain de folie et dix euros plus tard,
j'en avais fait l'acquisition.

Mais, qu'est-ce donc ?


Ouvrons le plateau pour voir...


Non !!!!!


Quoi ?
Une machine à coudre Singer !


Oui, c'est bien ça !


Derrière, le petit moteur est relié à la courroie qui, faisant tourner le volant à main, actionne toute la mécanique. A gauche du volant, la petite roue permet, lorsqu'elle est plaquée à la courroie, le remplissage d'une canette.




Elle est munie d'une prise, d'un rhéostat et la lumière s'allume.
Wahouuu !
Chouette, il y a déjà une canette !


Vite, une bobine !


L'enfilage est simple !

Le réglage de la tension du fil d'aiguille se fait directement avec le bouton tout rond sur le bloc tension.










A droite, le sélecteur de longueur de point fonctionne comme un levier de vitesse et passe même la marche arrière pour sécuriser la couture.


Vous devinerez jamais...
Dans le premier tiroir, une trousse remplie de trois ampoules de rechange, quelques aiguilles et...
...le manuel d'utilisation.


En plus de l'étagère et des deux tiroirs latéraux, un battant devant peut accueillir bobines et autres.


Et le bouquet final, c'est que cette machine à coudre fonctionne très bien.
Quelle aubaine !

Car à vrai dire, l'argument principal qui a motivé cet achat était de ne pas la laisser là, dehors...
Aussi, j'en avais jamais vue de pareille, dans un tel meuble ; une sorte d'intermédiaire entre la machine à coudre à pédale et l'électrique transportable.
Un brin volumineuse, cette petite dernière a trouvé refuge dans la maison maternelle. Merci !

Singer 197 B
Pour être aujourd'hui dans un si bon état, elle a dû être tendrement entretenue...

mercredi 1 août 2012

Les années 60 !

Ce mois d'août chez Ciseaut' Hé, c'est 

" Bienvenue dans les années 60 ! "
" Welcome to the 60's ! "
" Bienvenida en los años 60 ! "